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COMMENT CUISINER UN PETIT COCHON
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19 septembre 2006

Le trésor des rois de Rome (suite et fin)

Dans les épisodes précédents:  Antoinus et Merielum suivent Orly parti à la recherche du trésor des rois de Rome . Ils arrivent enfin à l'habitation des défunts monarques; un coffre est posé devant eux. Orly se précipite, et est renversé par...

Orly se précipita quand il se fit renverser par une jeune fille qui ne pouvait pas avoir plus de 15 ans, et qui à l'aspect déjà avait l'air turbulente. Antoinus sortit son épée de son fourreau  -  ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle Antoinus le Brave  -  et s'avança d'un pas rapide pour séparer les deux êtres. Quand ce fut fait, je m'avançai à mon tour et m'occupai de faire sortir la fan, m'assurant qu'elle partait vraiment, pour ne jamais revenir.
Antoinus aidait Orly à se relever, maintenant le champ était libre. je demandai à un de mes soldats de rester derrière  Orly et de faire un bouclier de son corps si l'occasion se présentait, et si la star était en danger (je savais d'avance qu'Orly ne laisserait personne ouvrir le coffre à sa place). Je savais aussi que le soldat suivrait mes instructions à la lettre, car son obéissance, sa loyauté, sa vie même, il les donnait de bonne volonté, à moi son capitaine, sinon, à plus forte raison, à Orly.

Orly ouvrait le coffre  -  c'était sans doute un des plus grands moments de l'histoire de l'humanité, et pour l'occasion le temps semblait s'être figé, et l'air nous collait à la peau de façon étrange  -  et poussa un cri de stupéfaction, puis un autre de ravissement. Nous nous précipitâmes tous pour voir  ce trésor si formidablement extraordinaire qui avait réussi à faire crier la star de la manière, elle qui était pourtant "blasée".

Et oh! stupéfaction! Dans le coffre se trouvait...

Une boîte. Dans la boîte, la fimographie complète d'Orlando. sous la boîte, des interviews exclusives et des photos rares recherchées par les collectionneurs, des magazines "spécial Orly", deus carnets à feuilles détachables emplis d'autographes, [...] et j'en passe, il y avait tant de choses.

Orly insista pour tout emporter, ne se souciant guère de la futilité de ces objets face aux ennemis qu'on ne tarderait sûrement pas à rencontrer une fois sortis de la belle demeure.

Nous arrivâmes pourtant chez Orly un  beau soir, sains et saufs, et renvoyâmes nos soldats pour un congé de 2 semaines;  il fallait bien le temps de récupérer!

Orly nous invita à dîner le soir même, et , quand nous passâmes à table, il nous avoua que notre peine n'avait pas été vaine:  c'était bien le plus beau trésor qu'il avait jamais vu.

extrait du journal de Merielum, 46 av.JC

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